Lentement, la chute de l'empire sarkozyste continue.
Les rats quittent le navire, sur la pointe des pieds : hier, Fillon s'est offert une véritable nécrologie sur France2 à une heure où on hésite entre la somnolence et le café. On a finalement zappé sur un épisode de Barnaby multi diffusé devant lequel on pouvait dormir sans craindre le réveil douloureux devant la tronche ridée de Michel Rocard.
Les figures emblématiques de l'empire montrent leur vrai visage et cette figure, on préférerait s'en passer. L'image des femmes en politique n'en ressort pas grandie.
Il faudrait un juge, pour tout ça. Et une justice...
CC
Un de ces jours, faudra qu'on vous offre une petite révision. Pour savoir ce qu'est au juste un empire...
RépondreSupprimerEt à vous, pour savoir ce qu'est une métaphore ? (pourrie, certes, mais quand même...)
RépondreSupprimerj'allais justement faire un commentaire du même ordre que mon prédécesseur.. (et d'ailleurs je m'aperçois qu'il n'y a pas de féminin...) Et oui,notre justice est aux ordres, et ne l'a jamais été avec autant d'évidence... Quand coupe-t-on le cordon ?
RépondreSupprimerCourroye, Woerth, l'Élysée et la justice.
RépondreSupprimerHervé Gattegno, rédacteur en chef au Point, intervient sur les ondes de RMC du lundi au vendredi à 7 h 50 pour sa chronique politique "Le Parti pris".
Le procureur général de la Cour de cassation Jean-Louis Nadal a annoncé lundi qu'il ne saisirait pas la Cour de justice de la République dans l'affaire Woerth-Bettencourt, mais qu'il recommandait la désignation d'un juge d'instruction indépendant. Or le juge Philippe Courroye refuse de se dessaisir du dossier... Une réaction tellement inouïe de la part de celui qui est soumis au procureur général de la Cour de cassation que personne ne peut croire que Courroye agit seul...
Et si l'Élysée voulait garder l'affaire sous contrôle ?
Écoutez :
http://www.lepoint.fr/politique/parti-pris/28-09-10-courroye-woerth-l-elysee-et-la-justice-28-09-2010-1242043_222.php