Il a l'envergure d'un chef d'entreprise. C'est lui qui le dit.
Nicolas, quand ça ne va pas, il se paye un petit voyage à New York. Et un nouveau site internet un peu narcissique, aussi. La folie des grandeurs, on dit...
C'est fou, il aime New York presque autant que la Franche-Comté. En tout cas, il y va aussi souvent. Et il a la même fièvre acheteuse que Joyandet, d'ailleurs...
C'est le grand air, l'altitude, les buildings...On ne sait pas. Mais en tout cas, il va sans doute aux States dans le but de se "présidentialiser", comme disent les journalistes. Ahhh ! Manger avec Barak ! Quelle classe...
Voilà quand même trois ans qu'il tente de se "présidentialiser", le bonhomme. Quand ça veut pas, ça veut pas...Pas la peine d'insister, encore et encore...
Tout ça pour avoir une envergure de petit chef...
Eh oui ! Lors d'une allocution devant des étudiants américains, il a déclaré qu'un pays, ça devait se diriger comme une entreprise. Et que le patron devait être jugé sur les résultats.
Peut-être qu'il espère toucher les sous du parachute doré, même si les résultats ne sont pas terribles ?
La France n'est pas cotée en bourse, c'est bien dommage. Mais elle peut faire faillite.
CC
Mi auchi, j'minge à l'Barack... à frites.
RépondreSupprimerExcellent
RépondreSupprimerSouvent la proximité avec les esprits brillants accentue le contraste et vous remet plus violemment à votre condition de médiocrité. L'effet de loupe recherché se transformera en effet microscope.
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