Tous les hommes d'État qui comptaient, étaient eux aussi, au même moment, sommés d'en revenir à de plus sages et à de moins libérales dispositions.
La paralysie du système pour grippe A, évidemment, l'idée l'avait effleuré. Mais en bon français, finalement, il avait évacué ça d'un geste de la main et d'un rire moqueur. En France, on croit toujours un peu que le malheur, c'est pour les autres.
On a toujours tendance à croire que les médias en font trop, qu'on alimente la psychose avec des fantasmes et qu'on ne va pas mourir demain.
Et le libéralisme, tout le monde le sait : there is no alternative...
A ce moment-là, alors que le correspondant du président s'apprêtait à raccrocher, en promettant de rappeler, la première dame de France entra dans la pièce en éternuant.
Vers 13 heures, comme tous les jours depuis le début de l'été, escorté d'une petite dizaine de gardes du corps, l'homme que les Français avaient choisi pour diriger leur pays sortit pour faire son jogging.
Le malaise qu'il fit ce jour-là, en secret, par les chirurgiens éminents du Val-de-Grâce, fut diagnostiqué comme un symptôme avant coureur de la grippe A...
(Fin)
CC
(Fin)
RépondreSupprimerrroooo
zut !
Donc ... Sarkozy va bientôt mourir ? Hein, c'est bien ça ? Sarkozy va bientôt mourir ? Hein, c'est bien ça ?
RépondreSupprimerDommage, c'est la fin.
RépondreSupprimerMais tout à une fin, y compris le mandat du président ...
Ah, bien amenée cette fin !
RépondreSupprimerAh? Fin?
RépondreSupprimerNoooon!